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Une fenêtre sur le sommet du monde : L’expédition du président de Masdel, Ken Labelle, au camp de base de l’Everest

À l’approche de son 60e anniversaire, Ken Labelle, président de Masdel, la société mère des bas de contention Supporo, savait qu’il ne voulait pas marquer l’occasion par une fête. En fait, il n’avait même pas envie de donner une grande importance à cette journée. Ceci a changé quand son neveu Chris lui a raconté son expédition de 2019 au camp de base de l’Everest (CBE). Les récits de Chris et ses photos extraordinaires des plus hauts sommets du monde et des plus beaux paysages ont suffi à convaincre M. Labelle. C’est ainsi qu’il a décidé de relever ce défi épique pour fêter ses 60 ans.

Une expédition au CBE est une aventure unique. Pour de nombreuses personnes, c’est un rêve et, bien qu’éprouvante, la montée au pied de la plus haute montagne du monde est l’expérience la plus gratifiante et la plus profonde qui soit. L’itinéraire, surnommé « les escaliers du paradis », a mené M. Labelle et son équipe à travers des paysages à couper le souffle (sans faire de jeu de mots) : forêts, villages sherpas, lacs, glaciers et sommets majestueux. Nous avons eu l’occasion de discuter avec M. Labelle de son expédition au CBE : son entraînement et sa préparation, les salons de thé non chauffés, les paysages spectaculaires et les bas de contention en laine mérinos, bien sûr!

Supporo : Qu’est-ce qui vous a motivé à entreprendre l’expédition au camp de base de l’Everest?

KL : Mon neveu Chris a voyagé en Asie du Sud-Est avant la COVID et a décidé, sur un coup de tête, de faire l’expédition au CBE. À son retour, j’ai regardé les photos et je les trouvais extraordinaires. Il m’a demandé si je le ferais et j’ai répondu : « Oui, on devrait y aller ensemble! »

C’était une occasion de faire quelque chose de différent et de passer du temps avec mon neveu. Heureusement, sa petite amie Shay et sa sœur, toutes deux nées au Népal, nous ont également accompagnés. Elles parlent le népalais et ont pu communiquer pour nous à Katmandou et au cours de l’expédition.

De plus, cette année j’ai fêté mon 60e anniversaire et cela me semblait le bon moment pour faire un tel voyage.

Supporo : Comment vous êtes-vous préparé sur le plan physique et mental pour relever ce défi?

KL : Je passe déjà beaucoup de temps à faire du cardio, comme le vélo, le hockey, le ski de fond, alors je n’ai rien fait de différent pendant l’été et l’automne […] Après avoir acheté de nouvelles bottes de montagne, j’ai fait cinq ou six grandes randonnées pour m’habituer aux bottes et préparer mes jambes autant que possible.

Quant à l’altitude, je ne pouvais pas vraiment m’y préparer. Seul l’entraînement en altitude nous prépare à l’altitude et ce n’était pas une option. Je ne m’en allais pas participer aux Jeux olympiques au Mexique.

Sur le plan mental, mes antécédents sportifs, notamment les courses de vélo et de ski, m’ont aidé à relever le défi. Ces expériences m’ont appris à persévérer et à me concentrer sur les 10 prochains mètres, et non sur la distance à parcourir jusqu’à la fin de la randonnée.

 

Supporo : Quel a été le moment le plus marquant de votre montée?

KL : Il y a eu plusieurs moments mémorables au cours de cette expédition, mais le plus remarquable à mentionner aujourd’hui a été la montée à l’extérieur de Dingboche, qui a été très difficile. Seulement 3 heures de montée et 2 heures de descente, mais nous avons grimpé plus de 700 ou 800 mètres verticaux. Au sommet, nous étions à environ 5 200 mètres d’altitude. Durant la marche entre Dingboche et le CBE, les paysages de la vallée étaient tout simplement spectaculaires!

 

Supporo : Quels ont été les plus grands défis au cours de votre montée?

KL : Sans aucun doute la randonnée que je viens de mentionner. Dormir dans le froid et ne jamais pouvoir se réchauffer la nuit. Dans les salons de thé (petits logements abordables), les chambres n’étaient pas chauffées. Après avoir quitté Namche, les nuits étaient froides avec une température ambiante de -5˚C à -15˚C. On dit qu’en altitude, on ne dort pas vraiment, on ne fait que se reposer.

 

Supporo : Quel mot utiliseriez-vous pour décrire cette expérience?

KL : C’était la meilleure et la pire des expériences. Les conditions d’hébergement étaient très difficiles pour un vieil homme comme moi. Mais les vues, ainsi que les moments partagés avec mon équipe (Chris, Shay et la sœur de Shay) en valaient la peine. Je n’avais jamais fait une telle expédition et cette expérience m’a tellement ouvert les yeux que je m’en souviendrai toute ma vie.

Supporo : Parlons maintenant des bas de contention. Comment les bas de contention Supporo ont-ils contribué à votre confort/performance?

KL : Je porte nos bas de contention sport pour le cyclisme, le hockey, le ski et les randonnées; je suis très conscient de ses avantages. Tout d’abord, les bas de contention ont permis de minimiser le gonflement qui se produit naturellement en altitude. Deuxièmement, je trouve qu’ils ont amélioré la sensation générale dans mes jambes et ont réduit la fatigue. C’est difficile pour moi de comparer, mais l’équipe a également porté nos bas de contention et ils ont remarqué une grande différence dans la sensation de leurs jambes lorsqu’ils les portaient par rapport à lorsqu’ils ne les portaient pas.

 

Supporo : Quels sont les principaux avantages que vous avez constatés en portant des bas de contention lors de votre expédition au camp de base de l’Everest?

KL : Je n’ai pas vraiment eu de problèmes aux jambes ou aux pieds pendant le voyage, ce qui était très important. Bien sûr, le fait d’avoir une bonne paire de bottes était utile, mais le fait de porter nos bas de contention en laine mérinos a certainement éliminé plusieurs éléments potentiellement négatifs. Oui, j’étais fatigué. Certains jours, nous avons marché 20 km ou grimpé plus de 1 000 mètres verticaux, mais le lendemain, je pouvais repartir tout de suite.

 

Vous envisagez de faire une expédition au camp de base de l’Everest?

Ou peut-être quelque chose d’un peu moins drastique? Que vous vous prépariez pour le voyage de votre vie ou que vous partiez pour une randonnée d’une journée, les bas de contention Supporo sont indispensables, même si vous n’avez pas de problèmes de santé au niveau des jambes ou de circulation sanguine. Fabriqués en laine mérinos douce, ils offrent une multitude d’avantages aux randonneurs assidus ou aux « guerriers du dimanche » :

  • Amélioration de la circulation sanguine;
  • Soutien supplémentaire aux muscles des jambes et aux pieds, ce qui améliore les performances;
  • Récupération plus rapide après l’entraînement;
  • Réduit l’accumulation d’acide lactique;
  • Résistance naturelle aux odeurs;
  • Absorbe l’humidité;
  • Réduit l’effet de jambes lourdes.

Achetez vos bas de contention Supporo dès aujourd’hui !